Le problème délicat de l'évaluation de l'intelligence du chien
Notre compréhension de l'intelligence du chien a démarré et, certainement, des progrès immenses ont été réalisés depuis les jours de René Descartes (le célèbre philosophe, scientifique et mathématicien français) qui a été le pionnier de l'école de pensée que les animaux proposés n'étaient que des machines biologiques!
Selon Descartes, le comportement animal observé ne représentait rien de plus qu'une réponse réflexe aux stimuli externes, de la même manière que lorsqu'une personne à pieds nus s'avance sur un objet pointu comme une pointe du pouce lorsqu'ils retirent immédiatement le pied affecté sans aucun Décision consciente apparente.
Les vues de Descartes sur l'intelligence animale, ou plus précisément, leur manque, non seulement ont refusé l'existence de l'intelligence chez les animaux qu'ils ont proposés que les animaux ne soient pas conscients de leur conscience et qu'ils étaient incapables d'émotion ou de pouvoir enregistrer consciemment la douleur. Étant une personne extrêmement influente de son temps, les opinions de Descartes ont largement contribué à justifier une cruauté excessive envers les animaux, soit par expérimentation, soit autrement.
Quoi qu'il en soit, ces jours barbares nous attendent longtemps et aujourd'hui c'est l'individu rare qui croit toujours que les animaux sont incapables de penser ou d'émotions. Cela dit, il reste encore des moyens d'aller avant que nous puissions qualifier et quantifier avec précision l'intelligence animale. Ironiquement, cela est peut-être le même pour la simple raison que, puisque nous mesurons l'intelligence des différentes espèces contre celle de nous-mêmes, nous pratiquons intrinsèquement l'anthropomorphisme (attribuant des qualités et des caractéristiques humaines à des sujets non humains, qu'ils soient des animaux ou des objets inanimés) Identifiez et attribuez une valeur plus élevée à ces comportements qui, en quelque sorte, imitent le nôtre ou nous ont une certaine forme de sens.
Le facteur d'anthropomorphisme
La faiblesse inhérente à cette approche est qu'elle porte sur la raison pour laquelle les diverses espèces d'animaux se comportent comme elles le font; À savoir que leurs cerveaux sont connectés et câblés dans un modèle conçu pour perpétuer le succès de cette espèce dans sa niche environnementale désignée; Une niche qui est invariablement très différente de celle occupée par les gens.
Cela ne veut pas dire que les humains ne sont pas plus intelligents que tout autre (à notre connaissance) animal sur terre, mais cela signifie simplement que nous devons concéder le fait que lorsque nous mesurons l'intelligence d'autres espèces contre la nôtre, par nécessité L'anthropomorphisme va être un facteur. Peut-être n'est-il plus évident que dans l'évaluation de l'intelligence du chien, plus précisément, la différence d'intelligence dans les différentes races de chiens.
Peut-être l'autorité la plus citée sur l'intelligence du chien est l'excellent livre de Stanley Coren (cliquez ici). Dans le livre du docteur Coren qui repose sur ses observations et recherches, Coren affirme qu'il existe trois types de renseignements présentés par les chiens qui incluent ce qui suit: l'intelligence adaptative (la capacité de résoudre des problèmes); L'intelligence instinctive (caractéristiques et comportements génétiquement entraînés); Et enfin le renseignement de travail / obéissance qui se réfère à la capacité d'obéir et d'exécuter des instructions.
En mettant particulièrement l'accent sur l'intelligence de l'obéissance, Coren a proposé une liste décrivant d'abord la race de chien la plus intelligente, allant jusqu'à la race de chien la moins intelligente, sur la base des observations de quelque 200 juges et formateurs d'obéissance aux chiens.
Cependant, l'étude du Dr Coren a généré un certain nombre de critiques vocales dont peut-être l'objet le plus pertinent pour la taille de l'échantillon de l'étude ainsi que pour la subjectivité de son approche. Beaucoup affirment que 200 est un nombre trop petit pour aboutir à des conclusions significatives et que, en outre, toutes les conclusions étaient par inadvertance parce qu'elles étaient basées sur les observations subjectives des différents formateurs de chiens.
Selon l'étude, le chien qui a dépassé la liste en tant que chien le plus intelligent était Border Collie et le chien qui était au bas de la liste était le Afghan Hound. Tout comme Coren souligne à juste titre que la mesure du renseignement ne se limite pas à un seul facteur, on ne peut qu'empêcher d'avoir l'impression que plus de valeur a été attribuée à la capacité d'un chien à mener des instructions (obéissance / intelligence de travail) qu'accordé Aux autres paramètres de l'intelligence.
Des études et des expériences comparatives ont révélé que les chiens présentent des capacités de résolution de problèmes étonnamment faibles par rapport à leurs homologues sauvages (loups, coyotes, chacals, dingos, etc.). Les recherches menées sur des loups ont montré qu'ils apprenaient généralement par observation contrairement aux chiens qui apprenaient par répétition. Une telle perspicacité cognitive semble être inhérente aux formes sauvages du canid qui peut expliquer pourquoi les individus apprivoisés de ces canidaux sauvages sont notoires pour avoir échappé leurs stylos et leurs chenils!
Bien que de grands progrès aient été réalisés dans la compréhension de l'intelligence du chien évidemment, il reste encore beaucoup à apprendre et beaucoup, nous ne le savons toujours pas.
Races de chiens
Selon Descartes, le comportement animal observé ne représentait rien de plus qu'une réponse réflexe aux stimuli externes, de la même manière que lorsqu'une personne à pieds nus s'avance sur un objet pointu comme une pointe du pouce lorsqu'ils retirent immédiatement le pied affecté sans aucun Décision consciente apparente.
Les vues de Descartes sur l'intelligence animale, ou plus précisément, leur manque, non seulement ont refusé l'existence de l'intelligence chez les animaux qu'ils ont proposés que les animaux ne soient pas conscients de leur conscience et qu'ils étaient incapables d'émotion ou de pouvoir enregistrer consciemment la douleur. Étant une personne extrêmement influente de son temps, les opinions de Descartes ont largement contribué à justifier une cruauté excessive envers les animaux, soit par expérimentation, soit autrement.
Quoi qu'il en soit, ces jours barbares nous attendent longtemps et aujourd'hui c'est l'individu rare qui croit toujours que les animaux sont incapables de penser ou d'émotions. Cela dit, il reste encore des moyens d'aller avant que nous puissions qualifier et quantifier avec précision l'intelligence animale. Ironiquement, cela est peut-être le même pour la simple raison que, puisque nous mesurons l'intelligence des différentes espèces contre celle de nous-mêmes, nous pratiquons intrinsèquement l'anthropomorphisme (attribuant des qualités et des caractéristiques humaines à des sujets non humains, qu'ils soient des animaux ou des objets inanimés) Identifiez et attribuez une valeur plus élevée à ces comportements qui, en quelque sorte, imitent le nôtre ou nous ont une certaine forme de sens.
Le facteur d'anthropomorphisme
La faiblesse inhérente à cette approche est qu'elle porte sur la raison pour laquelle les diverses espèces d'animaux se comportent comme elles le font; À savoir que leurs cerveaux sont connectés et câblés dans un modèle conçu pour perpétuer le succès de cette espèce dans sa niche environnementale désignée; Une niche qui est invariablement très différente de celle occupée par les gens.
Cela ne veut pas dire que les humains ne sont pas plus intelligents que tout autre (à notre connaissance) animal sur terre, mais cela signifie simplement que nous devons concéder le fait que lorsque nous mesurons l'intelligence d'autres espèces contre la nôtre, par nécessité L'anthropomorphisme va être un facteur. Peut-être n'est-il plus évident que dans l'évaluation de l'intelligence du chien, plus précisément, la différence d'intelligence dans les différentes races de chiens.
Peut-être l'autorité la plus citée sur l'intelligence du chien est l'excellent livre de Stanley Coren (cliquez ici). Dans le livre du docteur Coren qui repose sur ses observations et recherches, Coren affirme qu'il existe trois types de renseignements présentés par les chiens qui incluent ce qui suit: l'intelligence adaptative (la capacité de résoudre des problèmes); L'intelligence instinctive (caractéristiques et comportements génétiquement entraînés); Et enfin le renseignement de travail / obéissance qui se réfère à la capacité d'obéir et d'exécuter des instructions.
En mettant particulièrement l'accent sur l'intelligence de l'obéissance, Coren a proposé une liste décrivant d'abord la race de chien la plus intelligente, allant jusqu'à la race de chien la moins intelligente, sur la base des observations de quelque 200 juges et formateurs d'obéissance aux chiens.
Cependant, l'étude du Dr Coren a généré un certain nombre de critiques vocales dont peut-être l'objet le plus pertinent pour la taille de l'échantillon de l'étude ainsi que pour la subjectivité de son approche. Beaucoup affirment que 200 est un nombre trop petit pour aboutir à des conclusions significatives et que, en outre, toutes les conclusions étaient par inadvertance parce qu'elles étaient basées sur les observations subjectives des différents formateurs de chiens.
Selon l'étude, le chien qui a dépassé la liste en tant que chien le plus intelligent était Border Collie et le chien qui était au bas de la liste était le Afghan Hound. Tout comme Coren souligne à juste titre que la mesure du renseignement ne se limite pas à un seul facteur, on ne peut qu'empêcher d'avoir l'impression que plus de valeur a été attribuée à la capacité d'un chien à mener des instructions (obéissance / intelligence de travail) qu'accordé Aux autres paramètres de l'intelligence.
Des études et des expériences comparatives ont révélé que les chiens présentent des capacités de résolution de problèmes étonnamment faibles par rapport à leurs homologues sauvages (loups, coyotes, chacals, dingos, etc.). Les recherches menées sur des loups ont montré qu'ils apprenaient généralement par observation contrairement aux chiens qui apprenaient par répétition. Une telle perspicacité cognitive semble être inhérente aux formes sauvages du canid qui peut expliquer pourquoi les individus apprivoisés de ces canidaux sauvages sont notoires pour avoir échappé leurs stylos et leurs chenils!
Bien que de grands progrès aient été réalisés dans la compréhension de l'intelligence du chien évidemment, il reste encore beaucoup à apprendre et beaucoup, nous ne le savons toujours pas.
Races de chiens
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