Les artistes d'animaux ne reçoivent pas assez de respect
Compte tenu de l'importance des animaux dans nos vies et du symbolisme des animaux dans le mythe et l'art, il est surprenant que la plupart des artistes qui peignent des animaux ne reçoivent pas le respect qu'ils méritent.
Beaucoup de directeurs de musées d'art aujourd'hui ne semblent pas croire que l'affichage de peintures d'animaux et de la faune a le mérite. En fait, compter le nombre d'artistes animés au cours des deux dernières années dont les directeurs de travail considèrent que la dignité de l'exposition peut se faire sur plus de dix doigts: John James Audubon, Antoine-Louis Barye, Deborah Butterfield, Sir Edwin Henry Landseer, Rosa Bonheur, Edward Hicks, Jean-Baptiste Oudry, Jacques-Laurent Agasse, Franz Marc et George Stubbs sont à propos des seuls peintres qui ont surtout peint des animaux qui ont été critiqués comme de grands artistes.
Ceci est particulièrement surprenant car les représentations artistiques des animaux ont joué un rôle central dans la religion et la magie, les deux pierres angulaires des sociétés humaines depuis des millénaires. Les animaux étaient des sujets des premiers artistes artistiques jamais créés - et à en juger par la photo d'un dessin de 20 000 ans trouvé dans une grotte à Lascaux, en France, les artistes préhistoriques ont clairement cru que les animaux étaient des êtres sacrés et spirituels ainsi que des sources de protéines.
L'estime dans laquelle les Amérindiens détenaient des animaux est clairement démontrée dans leur croyance que les gens communiquent avec le Grand Esprit en interagissant avec la nature. Beaucoup ont choisi ou ont reçu des animaux symboliques pour la force et le caractère qu'ils confèrent, et chaque tribu possédait un animal totémétique qui signifiait l'esprit collectif de son peuple.
Le symbolisme animal dans l'art est resté incroyablement stable tout au long des changements dans les croyances religieuses. Les anciens Grecs considéraient le griffon comme préposé à Apollon et gardien de la lumière; Les griffons conservaient leur position protectrice en tant que gardiens des morts dans la tradition chrétienne. Pendant longtemps, les animaux ont également occupé une place importante dans l'art médiéval anglais et européen, et les artistes ont souvent utilisé des motifs animaux dans l'art et l'artisanat.
Bien que les animaux restent une partie vitale de l'art, pendant la Renaissance, ils les ont découverts, sauf les animaux de ferme présentés dans les crèches et les chiens, les chats, les chevaux et les oiseaux ont beaucoup utilisé comme accessoires artistiques dans les peintures de leurs propriétaires.
Les XVIIIe et XIXe siècles ont suscité un regain d'intérêt pour les peintures d'animaux avec les portraits d'animaux de George Stubbs, Theodore Gericault et Eugene Delacroix. Plus tard, le modernisme du XXe siècle devait beaucoup aux animaux dans l'art.
Même lorsque le résultat final semble trop sentimental, l'expertise technique requise pour la peinture des animaux est uniformément élevée. Aucun sujet n'exige une compétence artistique plus fine et aucun moyen ne permet de mieux saisir l'essence et la personnalité des animaux en tant que portrait artistique.
Beaucoup de directeurs de musées d'art aujourd'hui ne semblent pas croire que l'affichage de peintures d'animaux et de la faune a le mérite. En fait, compter le nombre d'artistes animés au cours des deux dernières années dont les directeurs de travail considèrent que la dignité de l'exposition peut se faire sur plus de dix doigts: John James Audubon, Antoine-Louis Barye, Deborah Butterfield, Sir Edwin Henry Landseer, Rosa Bonheur, Edward Hicks, Jean-Baptiste Oudry, Jacques-Laurent Agasse, Franz Marc et George Stubbs sont à propos des seuls peintres qui ont surtout peint des animaux qui ont été critiqués comme de grands artistes.
Ceci est particulièrement surprenant car les représentations artistiques des animaux ont joué un rôle central dans la religion et la magie, les deux pierres angulaires des sociétés humaines depuis des millénaires. Les animaux étaient des sujets des premiers artistes artistiques jamais créés - et à en juger par la photo d'un dessin de 20 000 ans trouvé dans une grotte à Lascaux, en France, les artistes préhistoriques ont clairement cru que les animaux étaient des êtres sacrés et spirituels ainsi que des sources de protéines.
L'estime dans laquelle les Amérindiens détenaient des animaux est clairement démontrée dans leur croyance que les gens communiquent avec le Grand Esprit en interagissant avec la nature. Beaucoup ont choisi ou ont reçu des animaux symboliques pour la force et le caractère qu'ils confèrent, et chaque tribu possédait un animal totémétique qui signifiait l'esprit collectif de son peuple.
Le symbolisme animal dans l'art est resté incroyablement stable tout au long des changements dans les croyances religieuses. Les anciens Grecs considéraient le griffon comme préposé à Apollon et gardien de la lumière; Les griffons conservaient leur position protectrice en tant que gardiens des morts dans la tradition chrétienne. Pendant longtemps, les animaux ont également occupé une place importante dans l'art médiéval anglais et européen, et les artistes ont souvent utilisé des motifs animaux dans l'art et l'artisanat.
Bien que les animaux restent une partie vitale de l'art, pendant la Renaissance, ils les ont découverts, sauf les animaux de ferme présentés dans les crèches et les chiens, les chats, les chevaux et les oiseaux ont beaucoup utilisé comme accessoires artistiques dans les peintures de leurs propriétaires.
Les XVIIIe et XIXe siècles ont suscité un regain d'intérêt pour les peintures d'animaux avec les portraits d'animaux de George Stubbs, Theodore Gericault et Eugene Delacroix. Plus tard, le modernisme du XXe siècle devait beaucoup aux animaux dans l'art.
Même lorsque le résultat final semble trop sentimental, l'expertise technique requise pour la peinture des animaux est uniformément élevée. Aucun sujet n'exige une compétence artistique plus fine et aucun moyen ne permet de mieux saisir l'essence et la personnalité des animaux en tant que portrait artistique.
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